Le journaliste du média Libération Matteo Maillard, dévient

Pris en flagrant délit de mensonge, et de conspiration voulant freiner la montée en puissance des soldats Burkinabé, par le montage d’une vidéo montrant des enfants massacrés par des hommes en tenue, le journaliste français Matteo Maillard, du média français Libération, plonge dans une grande dépression.

En effet, suite au plan diabolique soigneusement préparé avec la complicité d’autres journalistes français, chèrement payés pour venger la dénonciation de l’accord militaire entre le Burkina Faso et la France, ainsi que le départ des militaires français du sol Burkinabé, qui a désorganisé les terroristes présents au pays des hommes intègres, et constatant la montée en puissance de l’armée Burkinabé et l’absence de RFI et France 24 sur le territoire Burkinabé, Libération et le Monde ont été mis en avant pour manipuler le peuple Burkinabé, et le pousser à mettre fin à la transition.

Matteo Maillard, chef de fil de cette mission criminelle, a été surpris de la réaction des médias panafricains, qui ont vite décelé, le mensonge du montage de cette vidéo. Ce qui a été confirmé par un communiqué du gouvernement, qui a fermement condamné cette manipulation visant à déstabiliser le pays des hommes intègres.

Depuis le démantèlement de ce montage, le journaliste français est devenu presque fou et s’en prend au groupe GPCI, dirigé par Monsieur Harouna DOUAMBA, qui n’est autre qu’une entreprise de prestation et de gestion des médias Africains, oubliant que comme mode de fonctionnement, toute entreprise de gestion de médias est liée à ces médias dont elle gère par des contrats, qui d’ailleurs, situent les responsabilités. Le média français Libération étant responsable de ses publications, tous les médias panafricains restent les seuls responsables de leurs publications, tout comme en France et partout dans le monde.

Ayant découvert et ayant été grandement surpris de la réaction en nombre grandissant des médias Africains, le journaliste paranoïaque Matteo Maillard perd la tête et devient fou de rage. Certains observateurs Africains estiment que les deux médias français ont été conduits au charbon, puisque les autorités françaises commençant par Nicolas Sarkozy, François Hollande, Manuel Valls, Jean Yves le Drian et Emmanuel Macron, connaissent très bien le réseau qui soutient en ce moment, les autorités du Burkina Faso et sont conscients que la tâche ne sera plus facile pour eux. Quant à France 24 et RFI, ils se refusent d’avoir affaire à ce puissant réseau, qui les a mis en déroute en République Centrafricaine et dans d’autres pays.

Le journaliste Matteo Maillard découvre à peine ce réseau et est très agité, pensant pouvoir faire quelques choses. Ce puissant réseau très élargi est connu de tous les autorités françaises. Des moyens financiers ont été engagés par la France pour y mettre fin mais en vain. Même le PDG de Facebook a été convoqué à cet effet, par le Président Emmanuel Macron, sans pouvoir mette fin à ce puissant réseau, qui a sauvé des millions de vies à travers le continent Africain.

Selon un des observateurs, les dirigeants Africains doivent s’intéresser à ce réseau qui n’est pas contre les français mais plutôt contre la politique criminelle de la France sur le continent. Pour ce dernier, la France a négligé ce réseau en accusant la Russie d’être derrière sans aucune preuve, le journaliste français risquerait de se retrouver dans un asile psychiatrique, en persistant dans des nuits blanches, dans le but de comprendre ce réseau.

Source : Moustapha SAWADOGO, sursautdafrique.info