Burkina Faso : Comme en RCA, le plan des enlèvements des leaders peuls est lancé, une stratégie française déjà connue dans plusieurs pays

Du Soudan, au Tchad en passant par la République Centrafricaine, ce plan d’enlèvement est la marque déposée des stratégies françaises pour accuser et solliciter des sanctions contre les autorités de la transition.
LA PRATIQUE
Pour donner du crédit non seulement à la communauté internationale et favoriser une crise communautaire, ethnique ou religieuse, le plan est simple. Simuler des enlèvements, faire des enlèvements, enlever puis retrouver le corps sans vie, enlever puis faire témoigner en accusant les FDS et VDP. Tel est le plan diabolique engagé dans la communauté peule par les ennemis du Burkina Faso.
LES CONDAMNATIONS
Ces enlèvements organisés, doivent susciter la colère de certains cadres de cette communauté et quelques sociétés civiles acquises aux ennemis, pour cautionner les enlèvements et offrir sur un plateau, de la matière à la communauté internationale pour accuser, menacer et prendre des sanctions. Une formule très connue des panafricains qui dénoncent et interpellent l’opinion internationale sur des crimes en préparation.
LA CEDEAO
Comme si le président en exercice de la CEDEAO, monsieur Embalo lui-même d’origine peul a un acharnement particulier sur le Burkina Faso. La CEDEAO est devenue la boîte de validation des preuves fabriqués pour condamner les autorités du Burkina Faso.
Après le non-respect des décisions de monsieur Embalo par les pays du monde entier, qui offrent leur sol aux autorités du Burkina Faso et du Mali, le peuple Africain commence à s’interroger sur les positions et les déclarations du Président Embalo, concernant le Burkina Faso. Est-il devenu le porte parole de la France ? Nous y reviendrons dans une édition spéciale.
CONCLUSION
Les enlèvements au Burkina Faso, sont organisés par les ennemis de ce pays et de nature à solliciter la communauté internationale pour des sanctions.
Nous-y reviendrons…
Paul ANDRE