DIPLOMATIEMondeOpinionPOLITIQUE

Burkina Faso/France : Encore et toujours des français qui cherchent à semer le trouble dans des pays souverains

La France et ses espions postés au pays des hommes intègres pour mener de façon clandestine des opérations de déstabilisation, sont en train d’être démasqués progressivement. Qu’il nous souvienne qu’en décembre dernier, quatre (04) français accusés d’espionnage ont été arrêtés au Burkina Faso.

Aussi en décembre 2022, deux autres espions français qui s’intéressaient aux activités des FDS burkinabè ont été expulsés du territoire burkinabè. Aujourd’hui, trois autres français accusés de mener des activités subversives ont été sommés de quitter le territoire d’Ibrahim TRAORE. C’est sans oublier aussi que l’ambassadeur français tout comme l’armée française ont été chassés du Burkina Faso.

Pourquoi c’est seulement les français qui sont soupçonnés d’actes malveillants contre le Burkina et non d’autres nombreux représentants de pays résident sur le sol burkinabè ? Comme un proverbe le dit, il n’y a jamais de fumés sans feu. La France dans son obsession de semer le chaos dans les pays qui refuse sa présence, n’a toujours pas compris que les choses ont réellement changé et que les burkinabè ni aucun peuple de l’espace AES ne se laissera plus berner.

Désormais tout geste des français vivant dans chacun des pays de l’AES est contrôlé. Puisque les autorités françaises ne portent pas ces pays dans leurs cœurs et passent par tout moyen pour réussir leur coup. Tout simplement parce que ces patriotes et leaders panafricains révolutionnaires refusent de continuer à croupir sous l’impérialisme français et veulent leur souveraineté et leur indépendance réelle.

Tout compte fait, la machine de la révolution, de la lutte pour la reconquête de la dignité burkinabè et africaine a démarré. Elle ne s’arrêtera que quand les objectifs seront atteints et quand l’Afrique francophone sera à l’abri de toutes menaces impérialiste et néocolonialiste. L’unité, la fraternité et la solidarité fait toujours la force.

Nadia B.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *