Burkina Faso/Ingérence extérieure : Des jeunes mécontents, mettent en garde
Depuis que le pays des hommes intègres, le Burkina Faso a commencé à prendre son envol pour la libération totale de son territoire et pour sa souveraineté totale, il se fait au jour le jour des ennemis. Des valets locaux et leurs complices, autorités d’autres pays, qui s’immiscent souvent dans les affaires intérieures du pays, cherchant à entraver le processus de reconquête territoriale et de sécurisation.
Les plans de ces ennemis consistant uniquement à accuser à tort et à travers, les acteurs burkinabè impliqués dans cette lutte pour la souveraineté et contre les ennemis de la brousse. Il s’agit notamment des autorités de la transition, leaders de la révolution burkinabè et africain, ainsi que des forces combattantes et leurs supplétifs, les VDP qui sont résolument engagés pour la fin du terrorisme dans leur pays.
La dernière publication d’un rapport controversé de l’ONG Human Rights Watch (HRW) sur un supposé massacre des civils par les combattants burkinabè, suivi de la déclaration des gouvernements britannique et américains, appuyant les balivernes de HRW a été la goutte d’eau qui a fait déborder le vase. Une situation inacceptable pour les jeunes de la communauté ‘’Planète des Jeunes Panafricanistes section du Burkina Faso (PJP/BF).
Dans une réponse à la déclaration conjointe des gouvernements du Royaume-Uni et des États-Unis qui accuse les forces militaires burkinabè de massacres de civils rapporté par Human Right Watch, les jeunes de la PJP/BF ont invité les gouvernements américain et anglais à ne pas s’ingérer dans les affaires intérieures de leurs pays ni dans celles des autres pays de l’AES.
Les jeunes de la PJP/BF, affirment que le peuple du Burkina Faso et de l’AES restent engagés derrière les gouvernements et leur accordent leur soutien indéfectible contre toute menace. Ils sont prêts à se battre aux côtés des autorités de la transition, contre tout ennemi, afin de garder l’élan de lutte actuelle face aux criminels de la brousse.
Maïba Gorba