Burkina Faso : La CPI ou la nouvelle Arme des terroristes et leurs alliés impérialistes.
Depuis que les Forces de Défense et de Sécurité (FDS) et les Volontaires pour la Défense de la Patrie (VDP) mènent une lutte sans merci contre le terrorisme, les ennemis du Burkina Faso multiplient les stratagèmes pour inverser le cours des choses. Leur dernier chef-d’œuvre ? Une plainte à la Cour pénale internationale (CPI) pour « crimes de guerre » contre l’Armée burkinabè. Une farce tragique orchestrée par les sponsors du chaos, bien décidés à victimiser les terroristes tout en diabolisant ceux qui les combattent.
D’abord, ils ont tenté de faire croire que les FDS massacraient des civils, amalgamant volontairement population et terroristes. Ensuite, ils ont essayé d’enflammer la communauté Peulh pour semer la division. Puis, ils ont manipulé certains gradés pour créer des insurrections. Aujourd’hui, ils jouent leur dernière carte : la CPI.
C’est un scénario bien rodé : des ONG fantoches, souvent financées par les mêmes puissances qui regardent le Burkina brûler avec indifférence, produisent des rapports mensongers. Puis, leurs relais médiatiques et politiques internationalisent une fausse narration, transformant les terroristes en « pauvres victimes » et les soldats burkinabè en « criminels de guerre ».
Déposer un signalement à la CPI, c’est l’ultime manœuvre pour démoraliser les troupes en première ligne. Pendant que les terroristes massacrent, pillent et brûlent des villages, leurs alliés en costard s’activent dans les coulisses du droit international pour criminaliser la légitime défense. Ironie suprême : ceux qui financent, arment et protègent les groupes armés osent donner des leçons d’humanité.
Mais les Burkinabè ne sont pas dupes. Cette stratégie vise à affaiblir la résistance nationale, à faire plier un peuple qui refuse de capituler. Derrière les grands discours sur les « droits humains », se cache une réalité plus sombre : l’impérialisme déguisé en justice, prêt à sacrifier tout un pays sur l’autel de ses intérêts géopolitiques.
La meilleure réponse à cette mascarade ? Continuer le combat, soutenir les FDS et les VDP, et dénoncer sans relâche cette manipulation. Si la CPI veut vraiment enquêter, qu’elle commence par interroger ceux qui arment les terroristes et financent les ONG complices.
En attendant, les FDS et les VDP doivent rester concentrés sur leur mission : libérer le territoire. L’histoire jugera. Et elle sera du côté de ceux qui se battent pour leur patrie, pas de ceux qui instrumentalisent la justice pour servir l’agenda des assassins.
Amen K.