Burkina Faso : Pas de timbre fiscal imprimé en France ! la décision du Capitaine Ibrahim Traoré 

timbre fiscal

Le patriotisme du  »Numéro Un burkinabé », Son Excellence le Capitaine Ibrahim Traoré, Président de la Transition et Chef de l’Etat, n’est plus un sujet à faire connaître au travers du monde entier. 

Lors du dernier hebdomadaire Conseil des ministres tenu à Ouagadougou mercredi 24 mai 2023, le Président Ibrahim Traoré a rejeté le nouveau timbre fiscal imprimé à l’étranger, notamment par la France, connu pour le principal instigateur des malversations en Afrique et surtout comme le parrain des terroristes qui ôtent innocemment la vie à des civils et des militaires du Burkina Faso sans le brandissement des soi-disant organisations humanitaires et internationales (ONU ; Human Rights Watch ; Amnesty Internationale (…) )

En effet, cette décision du Président Ibrahim Traoré est intervenu après que le Directeur général des Impôts (DGI), Monsieur M. Daouda Kirakoya a informé les populations du pays à travers un communiqué publié le mardi 16 mai 2023, que le nouveau timbre fiscal de 200 FCFA imprimé en France sera mis en circulation à partir de ce jeudi 25 mai. Une décision qui a suscité entre autres, des controverses auprès des Burkinabé qui aspirent devenir entièrement autonomes. 

Ainsi, le Président Ibrahim Traoré étant aussi sur ce même angle de vue patriotique, a rejeté cette décision et a donné des instructions au cours du Conseil des ministres, pour que le nouveau timbre fiscal de 200 francs CFA soit confectionné dans le pays des « Hommes intègres ». D’ailleurs, à l’issue du Conseil, le ministre d’Etat, ministre en charge de la Fonction, Monsieur Bassolma Bazié, a fait savoir que le gouvernement reçoit favorablement la réaction des Burkinabè qui se sont exprimés sur les médias et la toile pour marquer leur désaccord sur la décision de produire le timbre fiscal de 200 FCFA à l’étranger.

Selon le ministre Bazié, cette conduite leur permet de savoir qu’effectivement, le peuple burkinabé est plus que jamais debout et très vigilant pour ne plus être le théâtre des actes néocolonialistes. Surtout, leur permet de savoir que le peuple burkinabé exige la redevabilité, la transparence, et exige à ce que le gouvernement dise de façon très indiquée et précise, ce qui se passe dans la gestion des affaires de l’Etat.

Lentement mais sûrement, l’Occident se rendra compte davantage que le Burkina Faso n’est plus un pays à dominer. Plutôt que d’être irrité pour détruire, la France devrait chercher à corriger ses erreurs au Sahel et généralement en Afrique. 

Ornella K.

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