Burkina Faso : L’agence onusienne PAM essaie de passer par tous les moyens pour faire tomber la lutte antiterroriste

L’ennemi de la plénitude se croit plus malin, oubliant que le gouvernement de la transition burkinabé l’est encore plus. Quelques jours après que les autorités de la transition aient décidé de suspendre tout vol d’hélicoptères du Programme Alimentaire Mondial (PAM), à cause des actes de défiance qui ont eu à poser, cette agence onusienne réclame 20 à 25 millions de dollars américains à l’État burkinabé pour le transport aérien de ses vivres dans les zones sous blocus terroristes. Ce mercredi 18 janvier 2023, l’agence information du Burkina fait sortir l’écho.
Depuis l’arrivée au pouvoir du Président du MPSR, le Capitaine Ibrahim Traoré, l’ennemi a tout de suite su à travers ses agencements; sa cohérence; son dynamisme; sa véracité dans les discours et surtout par l’accomplissement progressif de ses objectifs, que le Burkina Faso arrivera tout seul à bout de sa lutte et vaincra définitivement le terrorisme sans avoir recours à l’aide concret de sa part. Dès lors, l’ennemi cherche par tous les moyens de faire tomber la noble lutte du Président de la transition et de tout son gouvernement.
En effet, trois nouveaux cargos Chinook ont été acquis tout dernièrement au Faso par le PAM, dans le soi-disant but d’accroître sa capacité de ravitaillement en vivres des villes sous blocus des groupes djihadistes, spécialement dans la région de l’est et du nord du pays. Or bien avant l’acquisition de ses cargos Chinook, les hélicoptères qui apportaient les vivres au Faso étaient de très gros porteurs et ont une capacité de huit tonnes. Bien pire, un aéronef de cette agence onusienne a livré 24 tonnes de vivres dans l’anonymat, en quatre rotations à Djibo, au nord du pays, le lundi 09 dernier, alors que cette quantité s’escortait en seulement trois livraisons.
Étant éveillées et dynamique , les autorités de la transition burkinabé ont décidé le 11 janvier 2023, la suspension de vol d’hélicoptères du Programmes alimentaire mondial (PAM). Ces derniers ont pris cette décision afin de s’assurer que ces Chinook se limitent réellement à leur rôle de cargo humanitaire.
Cependant, fâché et couvrit de bassesse, le PAM fixe un prix aux transports des vivres transporter vers le Burkina Faso. Selon la ministre en charge de l’Action humanitaire Nandy Somé/Diallo, le PAM réclame entre 20 et 25 millions de dollars US, à l’État burkinabé avant le transport des 7 000 tonnes, à bord de ses hélicoptères Chinooks. Une surprise requête, ne correspondant pas aux points de l’accord reçu avec l’État burkinabé. Passer par plusieurs moyens sans succès, le PAM veut désormais franchir le côté financier pour ralentir le Burkina Faso sur sa lutte. Ce qui sera toujours dérisoire.