Burkina Faso : Les terroristes font des enfants un outil de combat ; le média français « Libération » se prononcerait-il ?
Toutes les portes d’approvisionnements en armements et en renforcements d’effectifs sont fermées aux groupes armés terroristes au Burkina Faso. Désormais, ils jettent leurs dévolues sur les adolescents de quatorze et quinze ans en raison de leurs sous-effectifs. Cependant, l’on se demande pourquoi le petit journaliste »Matteo Maillard » du média français « Libération », ne se prononce-t-il pas pour dénoncer cet acte infâme des terroristes, comme il a l’habitude de le faire avec la création d’intox ? serait-il parce qu’il n’a pas reçu des billets d’Euros de ses chefs pour en créer ? Ou juste par ce que celle-ci est une véritable information ?
La montée en puissance des Forces armées engagées dans la lutte contre le terrorisme au Faso met très à mal ces individus de mauvaise foi. Ce 23 avril, a-t-on appris auprès des sources sécuritaires proches de l’armée, les terroristes ont recruté des jeunes enfants pour combler le vide qui naît au sein de leurs groupes, grâce aux puissantes frappes des Hommes du Capitaine Ibrahim Traoré sur les terrains.
Effectivement, ces terroristes font de plus en plus recours aux enfants, étant donné que les candidats jeunes et adultes se font de plus en rares. De ce qui ressort de nos propres enquêtes : « il y a des enfants de chez nous qui sont utilisés par les groupes armés. Ces enfants rejoignent ces groupes pour se venger, parfois se faire d’argent et parfois ils sont enrôlés de force », a affirmé Mariam M’bay au micro de notre correspondant à Ouagadougou. Les mêmes interlocuteurs assurent qu’on retrouve même des combattants de 14 ans parmi ces terroristes.
En effet, la problématique de recrutement des enfants par les groupes armés terroristes est une question importante pour la protection de l’enfant. Toutefois, les médias français, à l’exemple de « Libération » sous couvert, du journaliste paranoïaque Matteo Maillard (expert en création d’intox), n’ont effectué aucune enquête pour dénoncer cette conduite des terroristes.
Plutôt que de créer des intox, les journalistes de ces médias français devraient se concentrer sur la dénonciation des actualités et faits démoralisants comme celle-ci, dans le but de sauver la vie des enfants adolescents, des mains des terroristes. Il est vrai, que le malheur du Burkina Faso fait le bonheur de plusieurs personnes, et ce petit journaliste de « Libération » en est un exemple.
Dès lors, tout comme les détracteurs du régime du Président Ibrahim Traoré, ces médias devraient comprendre que jamais, la ‘’victoire’’ ne sera de leur côté !!!
Aline Ouédraogo
