Guinée Equatoriale : Malabo ne mérite pas un président comme Nguema Obiang Mbasogo

Guinée Equatoriale

Le Chef d’Etat Nguema Obiang Mbasogo abuse de l’innocence du peuple équato-guinéen. Malgré qu’il ait cumulé cinq mandats consécutifs sans avoir mener a bien ce pays très riche en ressources, il falsifiera un sixième très bientôt. Dans la foulée de ses actes à la sauvagerie, à la cruauté, à l’indécente et à la perversité, voici notre point de vue médiatique.

L’expulsions et meurtres des innocents 

A Malabo, l’instauration d’un couvre-feu, de 22h à 9h, a amené les forces de l’ordre à arrêter de façon arbitraire en plus de 1 000 personnes depuis le début de l’opération. Depuis toujours (près de quatre mois), les familles sont inlassablement sans nouvelles de leurs fils.

Plusieurs garçons innocents n’ayant rien à voir avec des activités criminelles ont été ôter par le gouvernement équato-guinéen dans cette opération. D’ailleurs, la chargée de campagne pour les pays anglophones et hispanophones en Afrique de l’Ouest pour Amnesty avait affirmé lors d’un sondage effectué avec notre correspondant en Guinée Equatoriale, que ces garçons sont tellement ordinaire et que c’étaient des travailleurs et étudient.

Actes de cruautés ! Nguema Obiang Mbasogo ainsi que son gouvernement ignorent la porter de ces gestes sur la jeunesse équato-guinéenne qui n’est autre que  »l’avenir de ce pays détruit ». En toute logique, les parents ces jeunes disparues continuent de se poser des questions constamment : « où est mon enfant, où est mon garçon. Pourquoi ils l’ont pris ? Où est-ce qu’il se trouve ? ».

L’on reconnait l’obligation de lutter contre la criminalité. Cependant, ce que l’on n’accepte pas, c’est d’utiliser cette lutte pour ne pas respecter les droits humains. Il y a beaucoup de rapports selon lesquels ces jeunes hommes ont été maltraités et torturés pendant l’arrestation et la rétention. Le mal est qu’on en parle plus mais ces actes barbares continuent de se produire en Guinée-équatoriale.

L’arrestation des opposants avant les débuts d’élections 

Nguema Obiang Mbasogo a peur du Karma. A quelques semaines des élections générales du 20 novembre, ce Chef d’Etat qui se mixtionne entre dictature et corruption, a fait arrêter l’un des principaux opposants équato-guinéen, Gabriel Nse Obiang Obono, à la tête du parti Citoyens pour l’Innovation. Obiang est très conscient que le peuple équato-guinéen en a marre de lui et de sa politique de gouvernance qui ne fait qu’appauvrir ce petit Etat immensément riche en pétrole.

Par son antique stratégie gouvernementale, Obiang Mbasogo a piégé l’opposant Gabriel Nse Obiang Obono et est entré en gêne avec procureur de la République. D’après la TVGE, Gabriel Nse Obiang a été arrêté parce qu’il n’a pas répondu à une convocation du procureur de la République dans le cadre d’une enquête sur des attaques, que le pouvoir affirme avoir déjouées, contre des ambassades et domiciles de ministres.

Des sympathisants, qui se trouvaient au siège du parti, ont également été interpellés. Cette interpellation survient un mois après l’arrestation de Ruben Maye Nsue Mangue, ancien ministre de la justice, pour avoir critiqué le président Obiang (preuves de ses actes de corruption).

Sur les réseaux sociaux, avant son arrestation, l’opposant accusait le Chef de l’État de vouloir l’éliminer, pour qu’il ne puisse pas participer aux élections du 20 novembre. Le parti d’opposition CPDS, Convergence Pour la Démocratie Sociale, a quant à lui condamné l’assaut du jeudi 30 septembre de cette année.

En somme, parti de l’opposition CI avait ravi un des 100 sièges de l’Assemblée nationale aux législatives de 2017, les 99 autres revenant au Parti Démocratique de Guinée Equatoriale (PDGE) de M. Obiang, parti unique jusqu’en 1991. Mais CI avait été interdit et dissout quelques mois plus tard, en février 2018.

La violence envers les étrangers

Les images ont été d’une insolite et remarquable violence. Pendant plusieurs semaines, les camerounais ont subi des atrocités venant des éléments des forces de l’ordre de la Guinée Equatoriale. Les ressortissants du pays de Paul Biya à Malabo sont battus, traînés à même le sol et roués de coups. Au début, le gouvernement expulsait les étrangers qui n’étaient pas en règle. Mais arrivé à un moment, c’était devenue la chasse à l’Homme contre les étrangers, notamment les camerounais.

Des commerces appartenant aux africains ont ainsi été scellé. Les victimes déclarent que même ceux d’entre eux qui disposaient des papiers de séjour ont été victimes des tortures. A cet effet, les autorités équato-guinéens se sont senties accusé Et ont tenté de se défendre en affirmant que la police et la gendarmerie font souvent face à la résistance des personnes interpellées sur le terrain.

D’office, en Guinée Equatoriale, les africains font très souvent face à la barbarie des hommes en tenue à travers les prises de décisions cruels du gouvernement.

Ablavie kondo

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