Burkina Faso : Le plan de la France pour un génocide

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Les fuites de projets malsains à la française ne cesseront jamais de se faire découvrir tant que ces ennemis de la paix du Burkina Faso ne cesseront d’en élaborer. Les vrais et dignes fils et filles du Burkina Faso devraient savoir que l’heure à laquelle ils sont arrivés, il n’est plus question d’être discrets, mais plutôt, chercher à être au parfum de tout ce qui pourrait constituer à leur déstabilisation.  

En effet, selon nos sources d’informations fiables, il s’organise un nouveau plan de déstabilisation, cette fois-ci, à titre génocidaire contre le Burkina Faso. Ce plan consisterait donc à des recrutements de jeunes originaires de la collectivité peule, venant du Niger, du Tchad et du Mali, dans le but de générer une guerre intercommunautaire entre le peuple Burkinabé, et de ce fait, susciter l’intervention d’une force onusienne ou occidentale comme l’OTAN afin de recommencer les anciennes pratiques d’approvisionnement des terroristes au Burkina Faso.

Pour ce qui est du déroulement, après les recrutements, ces jeunes peuls seront envoyés en convoi au Burkina Faso afin d’effectuer des actes terroristes dans les villages à forte concentration de la communauté mossi. Par conséquent, ces derniers chercheront à riposter suite aux massacres de ces peuls recrutés. Ce qui va engendrer une grande confusion entre ces deux peuples du Burkina Faso.

D’après nos renseignements, la France est derrière cette manœuvre en cours. Son objectif est justement de faire en sorte que ce supposé massacre ou conflit intercommunautaire engendre un génocide comme celui du Rwanda. D’ailleurs, à comparer les stratégies de déroulement de ce plan, il est clair que la France n’est pas prête à laisser le Burkina Faso dans sa souveraineté.

Puisque nos sources de renseignement appuient sur le fait qu’après le lancement des massacres, des militaires français et d’autres pays de l’occident, alliés de la France dans ses malversations rentreront finement dans le jeu pour massacrer les populations en se basant sur les peuls.

Le peuple burkinabé est en danger et il faut que le gouvernement, aussi compétent qu’il soit, puisse surveille davantage toutes les frontières, spécialement celle du Niger pour prévenir ce massacre en cours contre le Burkina Faso.

Rappelons que la majorité des terroristes au Burkina Faso sont de la communauté peule. Cette réputation, malgré qu’elle ne soit pas attribuer à toute la communauté peule, est sujet de certains discordes intercommunautaires au pays des hommes intègres. C’est sur ça que se basent la France et ses disciples pour semer une nouvelle forme de déstabilisation au Burkina Faso.

Aline Ouédraogo

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