Burkina Faso : Le Président Ibrahim Traoré et son cap sur la souveraineté et la justice sociale
Depuis son arrivée au pouvoir en 2022, le Capitaine Ibrahim Traoré a engagé le Burkina Faso sur une nouvelle voie : celle de la souveraineté, de l’intégrité et du développement endogène. En deux ans, il a redonné au peuple burkinabè fierté et espoir, en rompant avec les pratiques de dépendance et de privilèges d’un autre temps.
L’un des actes les plus forts de sa gouvernance a été son refus catégorique des prêts du Fonds monétaire international (FMI) et de la Banque mondiale. Cette décision courageuse, motivée par la volonté de préserver la souveraineté économique du pays, a marqué une rupture décisive avec des décennies de politique dictée de l’extérieur. Le Burkina Faso choisit désormais de compter sur ses propres forces, en mobilisant ses ressources et en misant sur la transformation locale.
Dans la même logique de justice sociale, le Président Ibrahim Traoré a réduit les salaires des ministres et des parlementaires de 30 %, tout en procédant à une revalorisation salariale de 50 % pour les fonctionnaires. Cette mesure emblématique vise à rétablir l’équité entre les élites politiques et les travailleurs de l’État, renforçant ainsi la cohésion sociale et la confiance dans les institutions publiques.
Sur le plan économique, il a procédé à l’apurement de la dette intérieure du pays, soulageant les entreprises locales asphyxiées depuis des années. Ce geste a permis de relancer l’activité dans plusieurs secteurs clés, en redonnant des marges de manœuvre aux opérateurs économiques nationaux. Par ailleurs, les grands chantiers engagés dans l’agriculture, l’élevage, la santé et les infrastructures portent la marque d’un leadership visionnaire et pragmatique.
À deux ans de présidence, Ibrahim Traoré apparaît comme un chef d’État proche du peuple, ferme sur les principes, et engagé dans un processus de transformation profonde du Burkina Faso. Dans un contexte de lutte pour la reconquête du territoire et d’affirmation panafricaine, il incarne l’espoir d’une Afrique qui se relève par elle-même, digne et debout.