Les responsables du G7 ont mis en garde le pays prêtant main forte à la Russie en d’Ukraine mardi et ont promis de faire payer « le prix élevé ». Ces pays qui fourniront une assistance à la Russie en l’Ukraine et ont également proposé une ligne unifiée à la Chine. Ils ont condamné des “activités militaires”.

Depuis dimanche, les ministres des Affaires étrangères des pays les plus industrialisés sont rassemblés dans les Alpes japonaises (Alpes) à Karuizawa, et ont promis de faire payer “le prix fort” au pays qui fourniraient une assistance à la Russie dans la bataille contre l’Ukraine.

Ils ont par ailleurs promis de continuer à « renforcer » les sanctions contre la Russie et à doubler leurs efforts pour éviter le détour de pays tiers.

Le dernier communiqué de presse de leur réunion estime également que “inacceptables” la “rhétorique nucléaire irresponsable” de la Russie et sa menace de déployer des armes au Bélarus.

Le secrétaire d’État américain Antony Blinken devant la presse, déclare, “alors que l’Ukraine se prépare à lancer une contre-offensive pour reprendre son territoire (…), nous soutenons l’Ukraine”.

Les pays du G7 (France, Japon, États-Unis, Canada, Allemagne, Italie, Royaume-Uni) ont aussi mis en garde Pékin contre ses ambitions militaires en mer de Chine méridionale et souligné leur position inchangée à l’égard de Taïwan, malgré les remous liés à de récents propos du président français Emmanuel Macron.

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Ils ont aussi dicté à la Corée du Nord de “s’abstenir” de nouveaux essais nucléaires et tirs de missiles balistiques.

Sans évoquer la Chine, la déclaration commune s’engage à renforcer la coopération contre la “coercition économique”, consistant à restreindre le commerce ou les investissements extérieurs à des fins politiques.

L’avertissement contre le soutien à la Russie en Ukraine, sans mentionner la Chine, fait cependant lui-même écho aux mises en garde répétées par les responsables occidentaux à Pékin contre la fourniture d’armes à la Russie.

Nestor