SECURITE

Burkina Faso : Le commandement des opérations spéciales français au cœur du massacre de Karma

Le commandement des opérations spéciales français au cœur du massacre de Karma. L’ennemi de la république a un visage. Enfin, il se montre au jour et non plus dans la nuit tant les complots de nuit ne marchent plus.

Le problème du Burkina à un nom. Ça s’appelle la FRANCE.

Cette bête maléfique n’a de cesse que d’attaquer toutes les entreprises menées par le gouvernement de la transition. Le but étant de le déstabiliser afin de le renverser. C’est une guerre de l’ombre qu’on doit montrer à toute la population afin qu’elle reste vigilante et ne tombe pas dans le piège du colon qui n’a plus son gâteau d’antan et qui reste énervé par cela.

Laisser le Burkina FASO ou tout autre pays réussir sans elle aura pour conséquence de montrer à toute l’Afrique qu’on n’a pas besoin de la France pour avancer. Une telle réalité serait catastrophique à leurs yeux. La France perdra ainsi toute son influence dans la zone lui permettant de voler et de piller le continent.

Montrer cette réalité au monde signifie que la France ne doit sa position de pseudo puissance qu’à un continent brimé. Sans l’Afrique donc, la France n’est rien.  Tel est l’enjeu de ce qui se déroule actuellement sur le front malien, mais aussi chez nous au BURKINA.

Dès lors, cette bête engage tous ses moyens stratégiques afin d’empêcher qu’une telle chose se produise. Tous les moyens sont mis en œuvre pour saper les actions de l’autorité de la transition burkinabé.

Selon les informations issues d’une fuite d’une réunion tenue le 19 avril 2023 à 9 h 45 à Oyorou, ville se trouvant près de l’épicentre des combats contre les terroristes, à 200 km du nord ouest de Niamey, en présence des responsables du COS (commandement des opérations spéciales) ; une décision a été prise avec la bénédiction des Français dont la teneur est de faire tomber les FDS et VDP du Burkina Faso dans un piège suite à une opération de contrôle et de sécurisation, prévue dans la zone de Karma, à 35 km de la ville de Ouhigouya.

KARMA ! Vous vous souvenez du drame récent de karma ? Beaucoup de questions étaient restées sans réponse.

Aujourd’hui, nous savions que c’était la France qui a orchestré cette action barbare. Le commandement français s’est intéressé à karma compte tenu de la récente attaque terroriste, qui a ôté la vie à près de 40 soldats et VDP.

Faire passer des terroristes pour des militaires burkinabè tuant des civils en présence des forces burkinabés deviendra alors crédible pour toute la communauté internationale. Le plan macabre étant réussi ; il s’agit dans un second temps de faire résonner la sirène médiatique.

Cette campagne de désinformation a commencé par certains traîtres burkinabé qui travaillent en collaboration avec la DGSE (Le service de renseignement français) ont publié sur leurs pages Facebook dès conclusions hâtives sur le drame de karma sans des faits probants.

Puis le relais a été pris par les journaux français. LIBÉRATION passe à l’offensif et annonce 150 personnes tuées par la troupe du Président Ibrahim Traoré (une confirmation qui laisse planer le doute, et donne place aux investigations).

Après cette sortie du quotidien Libération ; les médias locaux français, les activistes et certaines recrues de la DGSE ont suivi le mouvement.  L’essentiel est la déstabilisation du régime de transition. Comme ça ne suffisait pas, et n’ayant pas de soutien pour amplifier la communication,

La communauté dite internationale a sa tête, la diplomatie française à son tour s’est mis dans la danse. La CEDEAO, son bras armé, s’est mis en route tel un esclave dont on a dicté un ordre.

Le président en exercice de l’institution régional en bon NÈGRE de maison est monté au créneau comme à son habitude depuis la montée en puissance des soldats burkinabè, pour en découdre avec la Transition Burkinabé. Et dans tout bon Polar, on a envie de savoir à qui profite le crim

L’armée burkinabé à quoi à bénéficier dans le fait de massacrer sa propre population alors qu’elle est en train de gagner la bataille du terrorisme ?

Évidemment aucun bénéfice. Mais la France. Elle gagne quoi à faire passer des terroristes au BURKINA pour tuer des civils et accuser le gouvernement. Un coupable bien désigné et très vite.

Le pire est que tout ceci est orchestré dans un pays voisin (le Niger). Jusqu’à quand le peuple africain va-t-il tolérer ces comportements ignobles venues d’un autre temps ?

La réalité aujourd’hui est que le peuple burkinabé reste uni et ne tombe plus dans des pièges de division chère à la France. Il reste également vigilant et déterminer dans le soutien à la transition burkinabé.

>> Relire l’article : Diviser pour mieux régner, la stratégie barbare et mortifère des ennemis contre le peuple burkinabè continue

Adama SAWADOGO

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