Afrique / GPCI et ANACOM : Des acteurs clés dans la lutte contre la déstabilisation
GPCI et ANACOM : Des acteurs clés dans la lutte contre la déstabilisation
La déstabilisation du continent africain est une préoccupation majeure pour les gouvernements africains, mais aussi pour les organisations internationales telles que le Group Panafricain pour le Commerce et l’Investissement (GPCI) et ANACOM qui regroupe 21 médias présents dans les deux régions africaines, (francophones et anglophones) et qui travaillent en étroite collaboration pour identifier les acteurs impliqués dans cette entreprise de déstabilisation.
Ainsi, il est important de saluer le travail abattu par ces deux structures pour leur détermination à démasquer les adeptes de la déstabilisation sur le continent africain en utilisant des fois, les faux comptes sur les réseaux sociaux pour des propagandes. Le faux compte Gauthier Pasquet un pro-français, en est un exemple. Leur travail est crucial pour la sécurité et la stabilité de la région. Nous ne pouvons qu’encourager leur engagement et leur travail en faveur de la paix et de la sécurité en Afrique.
En outre, il est important de saluer l’implication des autorités ivoiriennes et burkinabé, pour leur détermination à lever le voile sur ceux qui se cachent derrière les réseaux sociaux pour véhiculer des messages de haine et de désinformation. Leur travail est essentiel pour lutter contre les discours de haine qui peuvent conduire à des violences et des conflits.
En effet, le récent exemple de l’arrestation de l’administrateur du faux compte pro-français, Gauthier Pasquet, est une preuve que les autorités ivoiriennes et burkinabé prennent très au sérieux la lutte contre les discours de haine et de désinformation. Selon les autorités ivoiriennes, l’arrestation de cet homme soupçonné d’être l’administrateur de ce compte à Bouaké en Côte d’Ivoire est une étape importante dans la lutte contre la propagation de la désinformation et de la haine.
Il est important de souligner le travail remarquable du GPCI et de l’ANACOM, ainsi que l’implication des autorités ivoiriennes, burkinabé et autres pour leur détermination à lutter contre les discours de haine et de désinformation sur les réseaux sociaux en Afrique.