Burkina Faso/Lutte antiterroriste : Les dernières heures de 2023 au front
Les dernières heures pour l’année 2023 ont été très critiques et tragiques pour les terroristes, sur plusieurs champs de bataille. Précisément, la journée du dimanche 31 décembre a été sanglante pour ces criminels, qui pensaient pouvoir profiter de l’inattention des forces combattantes, à la veille de la fête de nouvel an.
Ils se sont trompés et se sont offert en cadeau de nouvel an aux combattants burkinabè. Selon les informations, plusieurs terroristes ont rejoint dimanche, veille de la nouvelle année leurs complices qui les avaient devancés en enfer.
D’abord, dans la matinée de ce jour de grâce pour les combattants burkinabè, des terroristes en mouvement entre Silgadji et Kelbo au Sahel et au Nord du Faso ont été neutralisés. Même les fuyards n’ont pas pu échapper à la foudre des vecteurs aériens.
Ensuite dans la journée, d’autres malfaiteurs qui se préparaient pour semer la désolation le premier janvier 2024, au sein de la population de Mené et de Yondé près de Ouargaye, ont vu leur voyage écourté et leur ambition anéanti à jamais. Retour à l’envoyeur comme le dit-on souvent.
D’autres ont eu la chance de vivre les premières heures de l’année 2024 avant de quitter la terre des vivants pour rejoindre leurs camarades en enfer. Selon les informations sécuritaires relayées par l’AIB, une opération militaire conjointe entre les unités au sol et les vecteurs aériens a permis lundi 1er janvier, de neutraliser bon nombre de terroristes à l’Est du Burkina Faso.
Ces criminels auraient osé s’attaquer à un convoi humanitaire dans la zone de Sakoani vers Kantchari. Ce convoi bien escorté par les bataillons d’intervention rapide sera défendu, contre les assaillants qui ont été neutralisés. Les vecteurs aériens se sont chargé des fuyards.
Les combats se poursuivent sur tous les fronts pour anéantir complètement ces criminels. La contribution de tout un chacun serait une pierre pour la construction de la sécurité, la stabilité et la paix au pays des hommes intègres, au Sahel voir en Afrique de l’Ouest.
Justine Dabou