Burkina Faso/Lutte antiterroriste : Les criminels connaitront l’enfer sur terre à cette allure
A cette allure de la guerre au Burkina Faso, c’est un enfer qui est réservé aux terroristes sur le sol burkinabè et dans le sahel. La promesse des autorités du pays de faire de l’année 2024 le tombeau des terroristes, avec l’intensification de la lutte, n’est pas vaine. Les moyens se déploient à cet effet.
Il y a un proverbe africain qui dit « Si un aveugle menace de te lapider, c’est qu’il a déjà un caillou sous le pied ». Pour dire de prendre au sérieux toute menace venant de toute personne. Les burkinabè ont ras-le-bol du terrorisme, et sont aujourd’hui plus que jamais déterminés avec la vision éclairée des autorités, à s’en débarrasser au plus vite.
Les criminels devraient prendre au sérieux les propos des autorités burkinabè et prendre leurs jambes au coup. Mais non, comme ils sont têtus et veulent montrer leur puissance, pensant pourvoir réussir leur coup comme ils en avaient l’habitude il y a quelques années, ils vont goûter le feu de l’enfer sur terre avant de rejoindre leurs complices dans les abimes.
Les forces combattantes sont bien préparées pour la guerre de cette année 2024. Le président de la transition, chef de l’Etat, le capitaine Ibrahim TRAORE, grâce à qui la guerre contre le terrorisme va connaitre un développement cette année, a annoncé l’acquisition de puissants missiles, grâce aux contributions des citoyens burkinabè.
Selon les propos du président TRAORE, au cours de cette année, beaucoup d’autres équipements vont arriver au pays de Thomas SANKARA. Ce qui va accroître considérablement la puissance de feu au cours de l’année et permettra de mettre fin au terrorisme dans le pays et au-delà de ses frontières.
Il a aussi lancé un appel aux fils et filles du pays à s’impliquer, à se sacrifier davantage, pour la cause de la Nation. Son souhait le plus cher en matière de lutte contre le terrorisme, est que l’armée burkinabè dispose d’une puissance inégale, de sorte qu’il y a plus de match, avec les terroristes.
Salim A.